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03 avril 2023
Le Défenseur des droits compte près de 250 agents.
Nous recrutons des juristes dans de nombreuses disciplines (fonction publique, protection sociale et solidarité, droits fondamentaux des étrangers, santé et droits des malades, droits des enfants, droit du travail, droit des biens et services privés…).
Nous recrutons également des agents pour des postes en finances, ressources humaines, informatique, communication…
Pourquoi travailler chez le Défenseur des droits ?
Rejoignez nos équipes pour participer à la défense des droits et des libertés.
Un engagement pour une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle
Le Défenseur des droits mène une réflexion permanente pour permettre à ses agents de concilier au mieux vie professionnelle et vie personnelle en proposant depuis plusieurs années déjà des horaires flexibles et le recours au télétravail. Une conciergerie propose depuis 2021 des services de pressing, cordonnerie, couture, panier bio, nounou, soutien scolaire, …
Des opportunités pour se former
Pour permettre à ses agents de mettre à jour leur connaissances et de les approfondir, notamment pour tenir compte des évolutions de la législation, le Défenseur des droits élabore chaque année un plan de formation qui permet à ses équipes de se former dans de nombreux domaines.
Un environnement de travail favorable
Le siège du Défenseur des droits est situé au cœur de Paris sur le site Ségur-Fontenoy qui abrite également les services du Premier ministre et dispose d’une restauration collective, d’une salle de sport et d’une crèche.
Égalité d’accès à l’emploi public
Conformément au principe d’égalité d’accès à l’emploi public, nos emplois sont ouverts aux candidats reconnus travailleurs handicapés.
Les locaux du siège du Défenseur des droits sont accessibles aux personnes en situation de handicap. Une navette électrique relie les stations de métro les plus proches à notre site Ségur-Fontenoy où est situé le siège du Défenseur des droits.
Afin de faciliter l’installation des personnels en situation de handicap, le Défenseur des droits, en lien avec la médecine du travail, met en œuvre des mesures pour favoriser la meilleure installation possible des agents, qu’elle concerne le site d’affectation ou le lieu de télétravail. Plusieurs types d’aménagements de poste peuvent être envisagés, allant du télétravail pour raisons de santé jusqu’à l’achat de matériels adaptés ou la mise à disposition d’aide humaine. Des études de poste plus approfondies peuvent également être mises en place avec un ergonome.
Les candidats qui s'estimeraient victimes de discrimination dans un parcours de recrutement au sein du Défenseur des droits peuvent utiliser la procédure de signalement et de traitement des actes de violences, de discriminations et de harcèlement.
Consulter nos offres d'emplois et de stages et postuler en ligne
Devenir délégué·e du Défenseur des droits
Plus de 570 délégués et déléguées du Défenseur des droits accueillent le public sur l'ensemble du territoire national, en métropole et outre-mer. Les permanences se tiennent majoritairement dans des structures de proximité (maisons de justice et du droit, locaux municipaux…) et dans les établissements pénitentiaires auprès de détenus. Au total, elles/ils vous reçoivent dans 800 points d'accueil. Ce sont des bénévoles. Elles/ils perçoivent chaque mois une indemnité forfaitaire représentative de frais.
Devenir jeune ambassadeur des droits
Tu as entre 16 et 25 ans ? Tu es sensible aux droits de l’enfant et à l’égalité pour tous ? Contribue à l’éducation des enfants et des jeunes : engage-toi en service civique comme Jeune Ambassadeur des Droits (JADE) avec le Défenseur des droits !
Accès à l'emploi public et non-discrimination
Conformément aux principes de non-discrimination au recrutement, le Défenseur des droits respecte le décret du 13 mars 2020 relatif au dispositif de signalement des actes de violences, de discrimination, de harcèlement et d’agissements sexistes dans la fonction publique et dispose d’une procédure ouverte aux candidats, précisée dans sa décision interne du 10 avril 2024 :